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Chers amis,
Comme vous le savez sans doute, le fonctionnement de mon blog connaît des difficultés depuis quelques semaines. Jusqu’à ces derniers temps, la parution d’un nouvel article était annoncée à quelques centaine d’abonnés (« subscribers »), qui étaient, alors en mesure de se rendre sur mon site « 06demain.fr » pour prendre connaissance de ce nouvel article. 

Aujourd’hui, et pour quelque temps encore, les abonnés ne sont pas informés de la parution d’un nouvel article. A toutes fins utiles, je me permets donc de vous annoncer, par la présente lettre, la parution d’un article nouveau : il s’intitule « Le Corbusier, cet inconnu. » Vous pourrez, si vous le souhaitez, en prendre connaissance en vous rendant sur mon site internet « 06demain.fr ».
Bien à vous.

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Le 15 janvier 2009, je créais le blog  « 06demain » en ces termes :

« Aujourd’hui, voici qu’il existe un outil qui nous permet de communiquer sur cette nouvelle place publique que nous offre l’Internet. Nous pouvons, depuis notre domicile, échanger des idées, des « oui », des « non », des « peut-être que l’on pourrait », des « surtout pas ça »…  Quelque chose qui, à sa façon, ressemblerait  à ce qui se passe, le matin, sur la « Place du Grand Jardin », à Vence, quand le temps s’y prête. »

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Me voici de retour sur mon fil, pardon, sur mon blog.
J’apprends en effet, dans le Nice-Matin du 3 mars 2012, que notre Conseil Général demande désormais à la ville de Vence la somme de 980 000 € pour prix de la cession de l’ancienne gendarmerie de la rue Isnard.
Notre maire a fait part de sa déception.
Je dois dire que je la partage. Mais j’ai un peu de mal à m’en tenir à cette déception.
Je serais heureux que notre municipalité veuille bien vérifier si l’on ne pourrait pas trouver la trace, dans ses archives, d’un accord de principe du Conseil Général pour céder l’ancienne gendarmerie à notre ville dans conditions analogues à celles qui ont présidé à la cession par la ville au département du terrain sur lequel est aujourd’hui construite la nouvelle gendarmerie. En son temps, si je me souviens bien, la ville a cédé le terrain au département moyennant l’euro symbolique. Aujourd’hui, il peut paraître équitable que le Conseil Général cède l’ancienne gendarmerie au même prix : l’euro symbolique.
Anne Satonnet, la Conseillère Générale de notre canton – celui qu’on désigne sous le nom de « canton de Vence » – nous déclare qu’elle a « décidé », avec le Président de Conseil Général, que, désormais, il en coûterait près d’un million d’euros à Vence pour faire l’acquisition de l’ancienne gendarmerie.
Face à cette position semble-t-il assez claire, je crois qu’il appartient aux vençois:
– premièrement de vérifier si aucun engagement n’a été pris, naguère, sur une éventuelle cession gratuite à la commune,
– deuxièmement d‘apprécier l’argument de Madame Satonnet selon lequel, si j’ai bien compris, le Conseil Général se serait déjà montré suffisamment généreux avec Vence en dépensant pour notre ville les huit millions d’euros qu’a coûté la gendarmerie; il n’aurait pas, en conséquence, à nous faire cadeau de l’ancienne gendarmerie, même si, il y a peu de temps, notre commune a donné gratuitement le terrain sur lequel a été construite la nouvelle gendarmerie.
Je rappelle que c’est l’état français qui a décidé, en 2005, de confier à la gendarmerie nationale la responsabilité de notre sécurité. J’observe, pour ma part, que cette décision a été une bonne chose. J’observe que c’était dès lors à l’état, dans l’exercice de ses responsabilités nationales, de loger convenablement les gendarmes.
En mettant gratuitement à la disposition du Conseil Général, pour le compte de l’état, un terrain pour y construire la gendarmerie, Vence a fait, à mon sens ce qu’il fallait.
Aujourd’hui, dans le cadre des responsabilités qui sont les siennes, notre ville souhaiterait installer un centre culturel qui nous est nécessaire dans les locaux de l’ancienne gendarmerie. Le Conseil Général, actuel propriétaire de ce local, pourrait peut-être se montrer, à son tour, coopératif.
J’ajoute que, à mon sens, ce n’est pas le Conseil Général qui a financé la construction de la gendarmerie comme le laisse entendre Madame Satonnet. Il n’en avait nullement la charge. Celle-ci revient à l’état.
Quant aux « loyers » évoqués, dans le Nice-Matin du 3 décembre, par Madame Satonnet, ils correspondent sans doute, à mon avis, aux intérêts d‘un emprunt consenti à l’état – j’ignore par quel organisme – pour financer la construction de la nouvelle gendarmerie.
Je termine en notant que les vençois, confrontés à la constatation de ce que les locaux de l’ancienne gendarmerie sont en passe de leur échapper, ont droit à un débat public sur ce sujet.
Nos élus (majorité et opposition comprises) doivent organiser ce débat, et faire en sorte que, malgré son apparente complexité, il soit clairement « décortiqué » et expliqué à tous. L’enjeu en vaut la peine.
Pierre Marchou
Ancien maire de Vence

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« Nous pensons à Jérusalem… »


Posted on 24 Fév 2011

Chers amis,
Les récents évènement du moyen orient nous ont tous frappés.
Pour ma part il m’inspirent une réflexion que je me permets de venir partager avec vous.

23 février 2011

Ce soulèvement des peuples de Tunisie, d’Egypte, de Lybie, et les mouvements insurrectionnels qui se développent en Algérie, et dans de nombreux états du moyen orient, nous invitent à porter un regard nouveau sur le conflit d’Israël/Palestine. Le devenir de ces deux peuples a dépendu jusqu’ici de la volonté de leurs dirigeants respectifs (gouvernement d’Israël d’un coté et Fatah de l’autre), ainsi que des initiatives souvent fluctuantes des pays qui sont sensés se pencher sur leur sort, O N U comprise.

Et voilà que ce qui se passe au moyen orient, à l’initiative des masses animées par leur jeunesse, est susceptible d’ avoir un effet bénéfique dans les territoires où vivent les israéliens et les palestiniens. Car ces deux peuples, tous comptes faits, souffrent plus, peut-être, des litiges internes qui paralysent depuis 20 ans leurs dirigeants respectifs, que des différences qui tiennent à leurs origines diverses et leur passé certes lourd de bien des litiges.

En effet, la paix, dans ce pays est malheureusement suspendue aux divisions internes qui minent l’action des dirigeants de chacune des deux parties. Il suffit, par exemple que Netanyahou, le premier ministre israélien, envisage le « gel » des nouvelles constructions dans les colonies juives en territoire palestinien pour que le parti d’extrême droite dont les voix à la Knesset lui sont nécessaires pour gouverner le menace de quitter sa majorité s’il persistait dans son intention de geler les nouvelles implantations. De son coté, Mahmoud Habbas, le chef de l’Autorité Palestinienne voit chacune de ses initiatives dans le sens d’un négociation pacifique contrée systématiquement par le Hamas, qui a beau jeu de présenter toute concession éventuelle du Fatah comme une trahison de la cause palestinienne.

De la même façon, les initiatives des pays qui tentent quelque chose pour aider à la construction de la paix dans cette région se révèlent souvent sans lendemain. Témoin le discours de Barak Obama au Caire en 2010 en faveur de la paix et « le coup de frein » que lui ont aussitôt imposé ses difficultés en politique intérieure américaine.

Les israéliens et les palestiniens assistent depuis 20 ans à des « négociations pour la paix » qui n’aboutissent jamais. Ce qui se passe aujourd’hui sous leurs yeux, dans tout le moyen orient, est peut-être de nature à leur inspirer la recherche d’une entente « à la base », où chaque peuple pourrait tenter une négociation qui soit enfin libérée de calculs étrangers à ses intérêts fondamentaux. Mais cela supposerait qu’ils se donnent des représentants qui ne subissent pas la pression des groupes ou partis qui, jusqu’ici, contrôlent l’action des dirigeants en place.

En d’autres termes, peut-on imaginer, pour les négociations de paix, d’autres interlocuteurs que Netanyahou d’un coté, et Mahmoud Abbas de l’autre? Ou bien peut-on envisager que Netanyahou et Mahmoud Abbas soient, d’une façon ou d’une autre, libérés des pressions qu’il subissent de la part de leur entourage?

On dira que de telles perspectives relèvent de la « politique fiction ». C’est vrai. Mais le renversement de Ben Ali ou de Moubarak ne pouvait-il pas, dans un passé récent, paraître tout aussi improbable?

Autrement dit, encore, on vient d’assister à une « révolution internet », un mouvement que la jeunesse a pu lancer grâce à l’utilisation des réseaux sociaux, cette dynamique où la circulation de l’information a permis de transformer de fond en comble le paysage politique, du moins en Tunisie et en Egypte. Ne peut-on pas, dès lors, imaginer, pour Israël et la Cisjordanie, un phénomène de ce genre? Il y a, dans ces deux pays, comme en Egypte et en Tunisie, une jeunesse pleine de compétences et brûlant du désir de vivre dans la paix et la liberté.
Alors, peut-on, aujourd’hui, espérer que quelque chose se passe, dans ce pays qu’on aime?

J’ai entrepris, comme je l’ai déjà indiqué, un film qui s’intitule « Est-ce que Vence et Jérusalem ont quelque chose à se dire? » J’ai pu recueillir un certain nombre d’interviews , l’été dernier, en Israël et en Cisjordanie. Je suis en train de réaliser des interviews de vençois de toutes professions et de toutes catégories sociales. Il s’agit de recueillir leur témoignage sur leur vie à Vence et sur ce qu’ils pensent, éventuellement, de ce qui se passe en Israël /Palestine. Si le cœur vous en dit, je filmerai volontiers votre participation. Il suffit, pour cela, que vous me proposiez un contact par l’intermédiaire de ce blog.

Pierre Marchou

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« Paul André mis à mal »


Posted on 15 Fév 2011

« Paul André mis à mal »

On pouvait lire, vendredi 11 février dernier, dans Nice-Matin, un article intitulé: « Circulation ouest-est: Paul André mis à mal ».

C’est bien vrai.

En effet la circulation automobile dans les voies Marcelin Maurel et Paul André doit obligatoirement se faire dans le même sens: soit, pour les deux voies, dans le sens est/ouest, soit, toujours pour ces deux mêmes voies dans le sens ouest/ est.

Et la raison en est toute simple: le boulevard Paul André, compte tenu de sa structure, ne peut avoir pour rôle que de participer à la fonction remplie par Marcelin Maurel et non pas de se substituer à cette même voie.

En d’autres termes, il est possible de donner aux automobilistes qui se dirigent dans la direction est/ouest le choix d’emprunter Marcelin Maurel, ou celui d’emprunter Paul André. Il est également possible d’offrir aux automobilistes qui se dirigent dans la direction ouest/est le choix entre ces deux mêmes voies.

Compte tenu de ce qui vient d’être exposé, le seul choix qui reste à nos responsables municipaux – ou supra-municipaux – est d’opter, pour chacune des deux voies, en faveur d’une circulation ouest /est , ou bien d’une circulation est/ouest.

Dans la mesure où la circulation dans Paul André est difficilement concevable dans le sens ouest/est, la solution qui semble s’imposer est donc une circulation est/ouest pour les deux voies.

Il s’agit là d’un constat, qu’il faudra bien admettre, un jour ou l’autre.

A cet égard, je ne peux m’empêcher de revenir sur une idée qui a failli aboutir, il y a trois ans, lorsque la construction de la nouvelle gendarmerie a été programmée: celle de la création d’une voie nouvelle, reliant l’avenue Emile Hugues, à hauteur de la future gendarmerie, à l’avenue du Colonel Méyère, à hauteur de la Bibliothèque Municipale.

Cette voie nouvelle avait pour fonction de permettre un tour de ville plus court que celui qui est aujourd’hui imposé aux automobilistes, et elle offrait en même temps aux gendarmes de la future caserne de ne pas être exposés aux risques de blocage résultant d’un embouteillage sur Emile Hugues.

Je m’explique sur le « tour de ville »:
Prenons l’hypothèse – très probable si l’on prend en compte ce que j’expose ci-dessus – selon laquelle le sens unique de l’Avenue Marcelin Maurel s’exercera dans le sens est/ouest. Envisageons le cas d’un automobiliste qui est garé au parking du Grand Jardin et qui veut se rendre à la bibliothèque municipale, avenue du Colonel Méyère: il devra prendre l’avenue de la Résistance, tourner place Maréchal-Juin, descendre l’avenue Emile Hugues jusqu’au rond-point Cantemerle, puis reprendre sa route par l’avenue du Colonel Méyère, jusqu’à la Bibliothèque municipale. Le « tour de ville » qui est imposé à notre automobiliste est assez long.

La liaison routière qui était en projet aurait pour effet de diviser environ par deux la longueur dudit « tour de ville ».

Quant au service que rendrait cette voie nouvelle à notre future gendarmerie, il saute aux yeux. Chacun constate que , tous les jours ouvrables, un embouteillage s’installe malheureusement avenue Emile Hugues, entre 17 et 19 heures, sur la voie qui mène au centre-ville. Comment, à ces heures-là, les gendarmes pourront-ils répondre à un appel urgent? Peut-être, me dira – t -on, en se postant ailleurs que dans leur caserne…

La création de cette nouvelle voie avait été bien accueillie par l’état, soucieux du bon fonctionnement de la future gendarmerie, et le Conseil Général, avec le même souci, avait consenti à la Municipalité de Vence une subvention d’un million d’euros pour la réalisation de cette liaison routière.

Cette voie, aujourd’hui, reste réalisable, avec les avantages que je viens d’indiquer.

Chers amis, mes longues réflexions sur les problèmes de circulation à Vence viennent de vous imposer une lecture bien ingrate. Je vous remercie de vous être imposé ce travail, si vous vous y êtes livrés. Pour ma part, j’ai, en tout cas, soulagé ma conscience, qui me disait, une fois de plus: « c’est trop commode de se taire, lorsque l’on croit avoir peu de chances d’être entendu. »

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P A D D


Posted on 20 Avr 2010

Bonjour,
Le Plan d’Aménagement Durable va faire l’objet d’un débat, lors de la réunion du Conseil Municipal de Vence à la date du 21 avril 2010.

Je crois utile de rappeler que notre Ville est menacée dans l’existence de ses commerces, qui sont pourtant le moteur de notre vie quotidienne. Seul un nouveau parking central, susceptible d’offrir deux heures gratuites de stationnement à tous les automobilistes désirant se rendre en ville, permettra à notre commune de survivre, voire de prospérer.

Je me suis expliqué sur cette question, et des solutions envisageables, sur mon blog «www.06demain.fr ».

L’article est intitulé : « La Ferrage, un atout majeur pour Vence ».

Dut ma modestie en souffrir, je me permets de vous renvoyer à ce texte.

Je vous remercie de bien vouloir le lire, ou le relire.

Pierre Marchou

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